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dimanche 19 juillet 2009


Découvrez The Libertines!




Sans autre forme de procès que le sourire que me procure ces quelques notes.

dimanche 21 juin 2009

Je ne suis rien qu'une grosse copieuse

Episode 1 de l'été 2009, soit le meilleur été de ma vie dixit le corps professoral.

(a retrouver sur deezer=))
Si on résume cette semaine 1 de Juillet l'on pourrait noter pêle mèle mon week-end à la Mer mélange détonnant de paix et de délabrement mental, le bal de promo entre rock'n'roll, rire et groupitisme presque magique, la panique, les pleurs, les échecs, le départ de Clément pour deux mois sans qu'une fois encore je n'ai pu lui dire au revoir. L'absence de Marjo. L'omniprésence sublime des potines. Magic hors-série Phoenix et de manière générale ma (re)découverte de la French touch.
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Air et Phoenix successivement que je réapprend à aimer,comme si mon amour maladif libertinien m'avait obstruer les coups d'antan. Planant. Mélancolique. Mégalomane aussi quelque peu.
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Puis de manière récurrente Lou Reed, l'Idole, le Grand, le Fort, le Magique, l'Eternel, et ses chansons d'amour qui n'en sont jamais de vraies (sauf si l'Amour n'est que drogues et transsexuels camés au bord du suicide) mais qui arrachent plus de larmes que n'importe qu'elle autre chanson. A part peut-être celles de Barbara, dont mes tripes commencent tout juste à découvrir le pouvoir mystique.
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Histoire de continuer dans le mélo élégant de la mélomane pédante faussement éclectique, un petit Dylan, entre souvenir amoureux et fantasme de bassistes aux faux airs cachés du dit seigneur.
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Les rires et la joie aposent leurs traces de-ci delà dans le songwriting cosmique d'Adam adoré ou dans les riffs quelque peu intrus des Red Lips qui ont sans nul doute illuminés cette drôle de semaine, ou dans la Pop ensoleillée des Kinks.
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Semaine qui s'achèvera sous les coups d'Air et la voix de ce cher Thomas Mars. Comme une évidence. Ou une prémonition. Ou juste tout l'amour que j'ai pour Marjo et le besoin de la voir et l'avoir quelques jours pour de vrai.
[J'ai copié Lumos adorée comme une malpropre pardon, mais ma playlist rattrape le mal]

vendredi 29 mai 2009

Les mots s'alignent. Un peu comme les larmes coulent. Droit. Tout droit et tout simplement. Telle une évidence, les mots se suivent, les sentiments s'échappent, mouillant. Ce n'est même pas de la souffrance. Juste se prendre l'évidence en pleine figure. Et comprendre que tout celà n'a pas de mot, pas d'amour, pas de manque, pas de regrets pas de manièrisme. Juste il est là. Il sera toujours là. C'ets juste que bêtement, comme des enfants capricieux, on préfére les ombres.Qui elles ne font pas mal. Qui elles n'ont pas mal. Qui elles ne savent pas quel goût ça a Interpol. Ni les retrouvailles. Ni les tourments.

jeudi 14 mai 2009

How you annoy me...How you destroy me...






Fenêtre ouverte, vynile de Blondie habitant le lieu, allongée sur mon parquet observant les coccinelles et autres ragondins chimériques qui dansent la pokla à l'envers du bas de mon plafond, la voix rieuse de Marion.


Le bonheur existe par fulgurance.

jeudi 30 avril 2009

You know we're both lost in a maze


Soupirer sur du Schuman est vraiment un acte grandiloquent. Manger du riz un peu moins.

mardi 21 avril 2009

Berlin I love you...




If you still love me by morning
Oh you’ll find me waiting in the garden
By the cherry blossom tree
Bring tin cups of wine and cigarettes
Come to me in pirouettes
My darling

[Encore 3 ans et on aura même battu les libertines]

dimanche 22 mars 2009


Death on Stairs


Je n'ai jamais compris pourquoi cette chanson à coup sur me faisait pleurer. Peut-être. Sans doute parce que sans le savoir moi aussi je suis effrayée par ça, par cette idée de ne rien faire de sa vie, que de rester assis dans un fauteuil à manger des haricots rouges. De se rendre compte que la solitude n'est que peu de choses quand on a pas de but. Quand on en a jamais eu. Ou tout du moins qu'on ne s'en souvient même plus.

Now I'm reversing down the lonely street
To a cheap hotel when I can meet the past
And pay it off and keep it sweet
It's sweet like nothing no
It's just like nothing at all


jeudi 5 mars 2009




Passage à vide de sens.

J'ai la tête qui souffre et le coeur qui rit. Tout est donc pour le mieux dans le meilleur de mes mondes. J'aime chaque instant de cette foutue 17e année que je ne vivrais plus jamais, simplement parce que je ne la revivrais plus jamais et que je chéris à l'avance les sourires qui se scotcheront à mes lèvres rien qu'à y penser, à cette 17e année.


Ps: Oui Dédé, c'est encore Richaaaaaaard

lundi 9 février 2009




Vous dire le bien fou que ça me fait de le sentir aussi vivant. Et de pouvoir aimer tout ce qu'il fait, tout ce qu'il est, sans devoir me justifier, sans lui donner la moindre circonstance atténuante. Juste pouvoir l'écouter avec un sourire d'idiote, les yeux mouillants, parler de lui la voix trembante ou au contraire surexcitée. Pouvoir dire que Pete Doherty est mon héros, sans avoir peur que demain lui soit fatal.

mercredi 21 janvier 2009


Immoler le visage de ces personnes maudites, voir les souvenirs s'extirper par volutes, rire à leur mort, tirer plus fort encore sur l'incendie. Se battre contre les fantômes de fumée que laisse l'anéantissement d'un amour. Se sentir follement puissant, avant de tomber, le cul par terre, la tête à l'endroit mais le coeur à l'envers. Une quinte de toux. Ah oui c'est vrai. Tout se disperse, tout se transforme, rien ne se disparaît vraiment. Les visages se cachent au coin du poumon, et réapparaissent par saccade. Un souvenir qui saute à la bouche. Une chanson qui explose au coin de l'oeil. Un mouchoir qu'une main extérieure tend. Les nouvelles amours rendent aveugle et sourd, le flou de la fumée devient artistique. On en vient à remercier, sincérement les Maudits, à vous avoir permis de devenir autre. Lentement ils se rollent dans un coin du poumon et y reste caché, jusqu'au prochain hiver des sentiments. L'hiver qui disparaît maintenant.

samedi 10 janvier 2009



"I wanna be a hippie but I forgot how to love. Oh tell me! Who's got the crack?"


Le temps est tellement fade qu'il ne donne envie de rien. Rien du tout. Même pas de faire l'ermite dnas ma chambre en relisant "La putain respectueuse" de notre grand ami JP S. en écoutant en boucle "You could have it so much better" (juste parce qu'elle dit que ça fait mieux que de dire le 2e album de Franz Ferdinand et que comme elle est drôlement merveilleuse je fais comme si elle avait raison)


Bonus du Weekend


Je rêve de faire comme à1min36 (et accesoirement faire un enfant à Alex Kapranos)

vendredi 2 janvier 2009

Cette année je ne dis plus "Carl est l'Homme de ma vie" mais "Carl Barât est mon guitar hero favori" J'aurais l'air plus crédible.



L'année commença au son de Light my fire des Doors. 2009 sera donc une année réussie. La preuve même mon vernis est impeccablement bien mis.

Je vous souhaite tout ça qui est permis, et même ce qui ne l'est pas. Je me souhaite votre présence encore et toujours.